Paris s’illumine pour Noël…
Les illuminations du magasin Printemps et le sapin des Galeries Lafayette


La grande roue de la place de la Concorde et la place Vendôme
Les illuminations du magasin Printemps et le sapin des Galeries Lafayette
Il serait difficile (et parfois d’un intérêt limité !) de vous parler de toutes mes sorties… Cela dit, certaines méritent le détour. C’est le cas de Trouville, où j’étais le dernier samedi soir du mois d’août avec quelques amis après avoir assisté à la célébration du mariage de Delphine, une copine de fac, et Greg en Normandie. Je connais assez peu la région mais suis tombée sous le charme de tout ce que j’y ai vu. Et la mer toujours apaise… Hummm, en ces temps quelque peu froids (sic !), quelques photos prises sur la plage en attendant de pouvoir y retourner…Continue reading
Les affiches de la pièce de théâtre « hors piste » me font de l’oeil depuis des mois dans les couloirs du métro. Aurélie et moi sommes allées ce jeudi soir au théâtre de la Renaissance applaudir ce spectacle réussi.
L’histoire : Tom a fait fortune grâce à Internet et réunit ses anciens amis dans sa nouvelle propriété dans les Pyrénées. Les trois invités ignorent qui sera présent et le but du week-end : une descente à ski extrême avec un « super guide de montagne » (une tête à claques !). L’un des amis travaille dans le social à Aubervilliers, l’une est une belle comédienne, l’autre gère mal ses affaires… de pizzas et a une petite amie Blondissime qui aspire à devenir chanteuse. Elle pourrait être en bonne poisition pour le prix de la super gourde de l’année.
Les retrouvailles sont particulières et donnent lieu à de fabuleuses répliques. Eric Delcourt, qui a écrit et mis en scène la pièce, est extraordinairement drôle et son personnage, Stan, est sans doute le plus grinçant, le plus attachant et celui à qui l’on doit le plus de rires !
La pièce dure un peu plus de 2h. Le public rit de bon coeur aux répliques qui se veulent toujours amusantes. Sans être la pièce du siècle, « Hors piste » mérite son succès et assure un moment agréable. Je n’ai jamais été déçue par une pièce jouée au théâtre de la Renaissance, à Strasbourg-Saint-Denis (Paris 10e), où j’avais vu « Grosse chaleur » de Laurent Ruquier et « Le jeu 2 la vérité ».
Ma phrase culte : « les emmerdes, c’est gratuit ! ».
Pour les moins de 26 ans (ce qui est encore mon cas pour moins de 3 mois !), l’entrée le mardi, mercredi et jeudi est à 10 euros. Ce serait dommage de se priver ! Et on nous place en 1re catégorie. Nous étions au 5e rang, sous le niveau de la scène…
Une pièce drôle à préférer à « Bio mais pas dégradées » dont je parlais en début de mois ici.
Le site du théâtre de la Renaissance (Paris 10e), c’est par là
Je n’ai sans doute pas fini de vous parler de Noël ! Il ne faut pas se leurrer, les jours passés en famille au chaud sont le but ultime de pas mal de monde lorsque décembre approche…Continue reading
L’automne sage et triste glisse enfin vers la neige qui s’étouffe derrière les carreaux. Les cheminées se préparent à crépiter pour brûler gentiment le fond de pantalon de l’homme à la hotte et réchauffer les mains gelées.
Je n’aime pas novembre, ses pluies, ses mines lugubres, ses airs de fausse fin, la renaissance trop lointaine. Je n’aime pas la pluie dans les corps, les nuits longues que l’on étreint, les âmes sombres et les larmes promises.
Les feuilles jaunes lumineuses qui reposent au sol nous rappellent heureusement le cycle de la vie. Les bourgeons reviendront. Je reverrai les arbres en fleurs. Les rires quotidiens sont nos bouées pour passer novembre…Continue reading
Je découvre au fil de mes discussions que les guides des Paresseuses ne sont pas aussi connus que je le pensais. Non, tout le monde ne connaît pas Facebook ! Ni la maison du chocolat… ni les Paresseuses !Continue reading
La pièce est jouée au Mélo d’Amélie, où j’étais déjà allée voir il y a 3 ou 4 ans « Panne de télé », une pièce sympa sur la télé réalité et la mise en scène de son intimité en fonction du regard des voisins. Le metteur en scène des deux pièces est le même : Xavier Letourneur, qui a aussi travaillé pour la très drôle (et très recommandée par mes soins !) « Amour et chipolatas ».
Revenons à nos moutons. L’histoire est la suivante : « larguées par leurs compagnons anciens babas, Josy et Mimi se démerdent comme elles peuvent pour subsister en Lozère profonde, entre artisanat, culture bio et élevage. Car si le retour à la nature est un rêve pour tous les écolos, sa réalité est tout autre. »
La pièce parle en réalité assez peu du bio, ou de façon très indirecte. Les deux femmes, jouées par Muriel Lemaire et Patricia Levrey, sont à bout après 20 ans à essayer de comprendre quelque chose à l’artisanat et à l’élevage… sans succès ! Les caisses sont vides et l’avenir n’a pas l’air simple. Le début de la pièce fait assez peu rire alors qu’il se veut déjà drôle mais peu à peu, le décor se pose et alors, on rit enfin, faisant trembler nos voisins tant les sièges sont étroits (il faut manger bio et peu pour tenir dans cette salle !!). Le spectacle ne dure qu’une heure, on sent comme un petit goût de trop peu.
En bref : une pièce sympa, à voir si vous allez très régulièrement au théâtre et être friands du genre, mais ça ne doit pas être La Pièce à retenir si vous ne devez en choisir qu’une. Si je devais n’en choisir qu’une, je vous soufflerais à l’oreille : « j’aime beaucoup ce que vous faites ». Cela fait peut-être deux ans que je l’ai vue, je voulais déjà y aller début 2005… et elle est toujours à l’affiche ! Courrez-y !
Si toutefois je vous ai donné envie d’aller voir « Bio mais pas dégradées » (avec laquelle j’ai involontairement été plus sévère que je ne l’aurais dû) :
Le site du théâtre Mélo d’Amélie (Paris 2e) : accès, pièces, tarifs etc., c’est par là
500 exposants sont sur place. Il y en a donc pour tous les goûts : alimentaire, sur place et à emporter, artisanat, produits de beauté, compléments alimentaires, livres, voyages, etc !
En voyant les stands, je me suis rappelée de mes chats de l’an dernier car les exposants sont les mêmes pour beaucoup : tapenade, jolies enveloppes et carnet d’écriture. Cette année, ça a été pesto et goujère. Rien que j’aurais acheté en temps normal ! Mais les envies sont vite créées là-bas…
Nous avons dû faire le tour en moins d’1h30. Bilan : il faut y aller le matin !! L’an dernier, c’était très compliqué d’avancer dans les nombreuses allées en plein après-midi.
Le site du salon Marjolaine, c’est par ici
Les modalités pratiques sont directement là
A noter que l’entrée est à 8€ mais que je suis rentrée gratuitement cette année avec la carte de fidélité Nature et découvertes, qui coûte moins cher que l’entrée au salon… (cherchez l’erreur)
Je suis allée samedi dernier pour la première fois au Salon du chocolat. Cette année installé dans le hall 5 de la porte de Versailles du 29 octobre au 2 novembre, sa 14e édition rassemblait 140 chocolatiers venus du monde entier. Si l’entrée peut paraître un peu chère de prime abord (12€), on en a très vite pour notre argent… et nous y avons passé 7 heures ! Seule la fermeture nous a poussées dehors.
Ces dernières années, le tournoi semblait maudit. Roger Federer, premier de très loin au classement, ne prenait pas la peine de venir disputer le tournoi, assuré de rester au sommet. Et les autres meilleurs joueurs, fatigués, se préservaient pour le dernier tournoi de l’année, où s’affrontent les huit premiers. A cela, vous pouvez un genre de poisse qui faisait que la journée où je m’y suis rendue en 2005 et 2006 était forcément pour moi une journée de très petite forme et où même suivre du tennis relevait de l’exploit sportif. Après une année de boycott en 2007, ma soeur et moi sommes retournées du côté de Bercy puisque depuis quelques temps, Federer a été délogé par Nadal et l’enjeu pour les meilleurs est à nouveau plus fort.
Le tournoi, portant le magnifique nom marketing de BNP Paribas Masters, a fait peau neuve cette année pour relancer ses entrées et montrer au monde qu’il tient toujours la route et mérite sa place parmi les plus grands tournois : les neuf masters series. Ces derniers sont d’ordre juste inférieur aux quatre tournois du Grand chelem, parmi lesquels figure Roland Garros. La prochaine étape dans l’évolution du tournoi parisien automnal sera sans doute un déménagement vers Roland Garros et son futur stade couvert d’ici quelques années. Je ne suis d’ailleurs absolument pas enthousiaste à l’idée d’aller à Bercy à Roland Garros (cherchez l’erreur).
Cette année, donc, il était possible de prendre des billets pour la journée et la soirée ou l’une ou l’autre de ces options. C’est une bonne idée très mal gérée. En effet, comment occuper les spectateurs qui s’ennuient pendant 2 heures en attendant la reprise de la soirée ? et comment faire attendre les spectateurs qui arrivent en soirée alors que les matchs de la journée ne sont pas finis ? M’y étant rendue mercredi soir et jeudi aux deux sessions, j’ai connu les deux problèmes…
A la question « t’as vu qui ? », je réponds par les matchs vus : Federer / Soderling, Murray / Querray, Roddick / Simon, Tsonga / Djokovic, Cilic / Federer, Nadal / Monfils (le meilleur match de la journée !), Berdych / Davydenko.
Belle journée ! Les spectateurs du lendemain ont eu moins de chance car Feder et Nadal, les deux meilleurs, ont déclaré forfait…
A l’heure où j’écris, le français Tsonga donne beaucoup de fil à retordre à Nalbandian, le tenant du titre, en finale…
Le site du tournoi, c’est par là