Si vous me suivez sur Instagram ou lisez entre les lignes, vous l’avez sans doute déjà compris : j’attends, à 38 ans, mon premier enfant ! Ca a été LA grande nouvelle du mois de juin (et sans doute un peu plus que ça !). Un petit garçon va nous rejoindre fin février, en théorie à peine quelques jours avant mon propre anniversaire.

Je n’en ai pas encore parlé dans un article dédié mais ai envie de partager ces six premiers mois de grossesse avec vous. Cela renseignera peut-être d’autres femmes car c’est une période où les interrogations sont nombreuses et j’aime beaucoup, pour ma part, lire des récits d’expérience, des conseils et retours sur un peu tous les thèmes liés à la grossesse, la naissance et le « quatrième trimestre », qui me semble encore si mystérieux.

Je n’ai pas écrit jusque là d’article sur le 1er trimestre en lui-même car c’est une phase durant laquelle les femmes sont souvent invitées au silence et j’avais encore du mal à réaliser. Tout semblait alors encore fragile et j’étais de toute façon bien trop épuisée pour me lancer dans de grands articles sur le blog.

On m’a demandé vers le 4e mois si j’aimais être enceinte et la réponse n’est pas si simple à donner car oui, évidemment, je suis ravie ! Mais c’est aussi un sacré challenge pour le corps – je n’imaginais pas que c’était à ce point ! – et déjà une révolution du quotidien alors que bébé n’est même pas encore là. En tout cas, entre joie, maux plus gênants qu’inquiétants et préparation, j’espère que ce billet « carnet de bord » vous intéressera !

La découverte de ma grossesse

Le premier mois est passé vite. Les trois premières semaines, nous ne savions pas ce qui était en train de se préparer et sommes partis en vacances dans le Lot (et c’était tellement chouette !) et nous sommes consacrés à d’autres projets (dont un immobilier… nous n’aurons en principe une chambre pour bébé qu’au 3e trimestre 2023). À une semaine de grossesse, avant de partir en vacances, j’ai vraiment eu mal au cœur au réveil, comme ce n’est pas arrivé depuis longtemps ! Puis la semaine s’est parfaitement déroulée et j’ai mangé mon dernier poké bowl au poisson cru avant un petit moment. À notre retour, je suis allée me faire vacciner contre le covid le jour théorique de mes règles (j’ai des cycles vraiment réguliers).

Et après 5-6 jours, sans vraiment trop y croire, j’ai fait un test… positif. Si je n’y croyais pas plus que cela, c’est parce que ce bébé est souhaité de longue date et que, bien qu’il n’y aie pas de raison médicale de s’en inquiéter, nous n’avions pas la garantie qu’un petit volontaire finisse par avoir envie de nous rejoindre. Et si ! Très rapidement, je me suis retrouvée la tête au-dessus de la cuvette et mon médecin m’a prescrit une prise de sang, qui a confirmé la bonne nouvelle ! Dès cette 4e semaine, j’étais écœurée tous les matins et ai découvert que je l’étais aussi dans le train. Ventre qui tiraille, poitrine sensible… c’était parti pour le festival des symptômes de la 1re moitié de grossesse !

Mon album de grossesse, cadeau de l’une de mes amies

La fatigue… ou le fol épuisement des mois 2 à 4

Le rouleau compresseur de l’épuisement

Oui oui, j’ai bien des souvenirs de mes amies très fatiguées pendant leur grossesse. Je revois B me dire qu’elle dormait à 20h30 tous les jours ou encore A s’endormir devant une pièce de théâtre… soporifique. MAIS, comme sur beaucoup d’autres sujets dans la vie, il faut vraiment expérimenter cette fatigue pour la comprendre. Et encore… je ne suis pas sûre de me souvenir pendant des mois ou des années à quel point je me suis sentie écrasée par l’épuisement, incapable ou presque de faire quoi que ce soit. Et chaque expérience étant très personnelle, il semble aussi que la fatigue soit vraiment inégale d’une femme à une autre ou même d’une grossesse à une autre. Entre cette envie perpétuelle de sommeil et les nausées, le travail a été extrêmement dur à gérer pendant de nombreuses semaines. 10h de sommeil sur 24h ne suffisaient pas à me reposer. J’ai dormi « comme jamais » !

Un épisode de surchauffe et d’hypertension

Le fait de ne pas trouver de moyen de faire baisser la fatigue a fait que je me sentais stressée (« comment vais-je parvenir à travailler jusqu’à ce soir ? ») et ai eu le premier épisode d’hypertension de ma vie lors du 2e mois. J’ai été arrêtée une semaine et demie car c’est un symptôme qui n’est vraiment pas bon pendant une grossesse et que le premier remède associé est le repos. À la fin, je ne me sentais pas beaucoup plus en forme mais ma tension était redevenue normale.

Les maux de tête de fatigue

Ajoutez à cela des maux de tête de fatigue, impossibles à déloger avec un Doliprane et qui ne partaient qu’après une sieste, possible le week-end ou en vacances mais pas la semaine. À titre d’exemple, en août, à 2 mois et demi de grossesse, nous sommes partis en grand week-end à la fin de nos deux semaines de congés. J’ai tenu le 1er après-midi, à peu près le lendemain en rentrant tôt mais, dès le 3e jour, j’ai été prise d’énormes maux de tête de fatigue. Le lendemain, nous nous sommes promenés le matin puis avons repris le chemin de Paris. J’ai l’impression d’avoir assez peu profité même s’il aurait été dommage de ne pas prendre l’air pour autant. J’ai promené ces maux de tête encore un bon moment.

Vers la disparition des siestes et l’apparition d’insomnies

Je ne fais presque plus jamais de sieste en journée depuis le courant du 5e mois, pendant lequel j’ai délaissé les 2h de sommeil des après-midis de week-end. Je me repose toujours dès que possible : pour les trois jours de la Toussaint, je n’ai par exemple fait qu’une seule promenade et une seule session de courses. La 2e partie du 6e mois est encore un peu différente : je me réveille plus tôt (« comme avant » et parfois même avant 6h), ne dors plus 100% des soirs à 21h et commence à avoir des épisodes d’insomnie d’1h-1h30 en pleine nuit. Pas toujours évident de trouver le sommeil après un énième pause toilette nocturne. Je sens en tout cas que j’entre dans une autre phase.

Mes amis les compléments alimentaires

J’ai pris et prends encore différents compléments alimentaires : de l’acide folique prescrit par le médecin les premiers mois, du fer (je prends Floradix par cures depuis des années car je manque de fer et supporte mal le fer sur ordonnance) et Gestarelle, un cocktail de vitamines pensé pour les femmes enceintes.

Les femmes enceintes, prioritaires ?

Depuis le 5e mois, je peux télétravailler deux jours par semaine (après une période de deux mois de 100% sur site) et quitter plus tôt le travail (cela fait environ 4h de moins sur une semaine). Cela veut dire que je promène régulièrement l’ordinateur portable du travail sur mon épaule (Monsieur a la gentillesse de me le porter quand il peut) dans le métro. Objectivement, en six mois, il m’est vraiment arrivé très rarement d’avoir une place dans les transports en raison de ma grossesse. Habitant un terminus, je suis assise le matin : c’est déjà ça de pris. Mais je renonce à pas mal de sorties en sachant que je vais « galérer » debout dans le métro.

Au supermarché, même aux caisses prioritaires, je n’ai jamais été prioritaire. Je ne demande pas à passer absolument en premier et ne me vois pas non plus réclamer dans la queue. Quand le supermarché en dispose, je vais aux caisses libre service, beaucoup plus rapides et donc moins fatigantes. Ce qui me chagrine, c’est plus quand je porte une dizaine d’articles et qu’une personne au chariot qui déborde se dépêche pour me passer devant alors que l’on arrive en même temps à la caisse et que l’on voit vraiment que j’attends un enfant. J’essaie alors de trouver un endroit où attendre moins mais suis un peu dépitée. Cela changera peut-être quand j’aurai l’air d’être sur le point d’accoucher ?

Coucou les nausées

Vous l’aurez compris : je n’ai pas échappé aux nausées, qui ont été omniprésentes jusqu’à quatre mois et demi environ. Il y a eu différentes étapes : le matin puis surtout l’après-midi… et une sensation générale d’écœurement permanent. En réalité, j’ai toujours un fond nauséeux et ai souvent soit faim soit l’impression d’avoir trop mangé soit les deux en même temps. Mais ça n’a plus rien à voir avec la première moitié de grossesse, durant laquelle Primpéran, gélules de gingembre et autres remèdes avaient toute mon attention. J’avais aussi acheté un hydrolat de fleur d’oranger bio et l’ai un peu (beaucoup) oublié. Je peux me lever à un rythme normal et n’ai pas besoin de prendre des précautions pour ne pas brusquer mon estomac.

Moi qui, habituellement, peux lire en voiture, j’ai été servie sur la partie « mal des transports« . Même prendre le métro m’a rendue malade plusieurs mois. La combinaison « avoir besoin d’air » et « porter un masque » était assez périlleuse. Le trajet domicile-travail ne fait « que » 10 stations, ce qui était déjà trop mais la situation aurait pu être pire.

J’ai aussi eu des épisodes de reflux et une semaine durant laquelle la douleur à la gorge liée à une rhinopharyngite me faisait vomir. Mais bon, bébé étant installé bien bas dans mon ventre, ça pourrait là aussi être pire !

La prévention des vergetures

Ayant une peau claire et qui marque très facilement, j’ai découvert les petites vergetures dès l’adolescence. Un kilo de plus ou de moins et pif, quelques lignes – heureusement discrètes – ont envie d’apparaître sur le haut de mes cuisses ou ici et là. Rien de très spectaculaire ni de vraiment gênant mais inutile de dire que la grossesse étant un changement beaucoup plus important et ayant un terrain vraiment favorable à l’apparition de zébrures, je me suis très vite inquiétée, dès la fin du 1er mois, de l’achat d’huiles.

J’ai commencé par acheter deux produits qui m’ont au départ semblé un peu gras sur mon ventre de 1er trimestre et qui restent un chouillas trop parfumés pour mon nez sensible et mon état nauséeux :

Je vais les utiliser peu à peu mais ne les aime pas plus que cela. Je ne pense pas en racheter. De même, j’ai investi dans un gros flacon de Phytostastil gel prévention vergetures de Liérac car je cherchais un produit qui ne colle pas mais je n’arrive pas à m’habituer au produit.

Fin août, j’ai commencé à m’activer encore davantage sur la prévention des vergetures, suis passée au départ à l’huile de jojoba, qui n’est pas trop grasse, et à une application deux fois par jour. En parallèle, j’ai commandé trois huiles végétales chez Aromazone : germes de blé, rose musquée du Chili bio et avocat bio. Si j’ai beaucoup aimé appliquer l’huile de germes de blé seule et vite trouvé que l’huile d’avocat avait une odeur forte et pas forcément plaisante, j’ai toutefois rapidement préféré réaliser un mélange en suivant la recette de l’huile anti-vergetures à utiliser pendant la grossesse. J’utilise ce mélange tous les matins. Le soir, j’applique du beurre de karité Aromazone (j’en avais à l’appartement et ne savais pas qu’en faire auparavant !). J’adore vraiment ce produit et viens d’en racheter 500g. Le beurre de karité sent bon, est riche et couvrant mais ne tâche pas les vêtements. Alterner les soins me rassure et j’en ai encore pour un moment (a priori, les trois derniers mois de grossesse puis au moins les trois suivants). Je me suis dit que tout pouvait avoir une action complémentaire.

La prise de poids du 6e mois est vraiment visible et j’ai l’impression que ma peau tire un peu autour du nombril mais ça semble aller. Je croise fort les doigts (en massant mon ventre). Comme je n’ai apparemment plus de limite et pense indispensable de passer à trois applications par jour quand je serai en congés, week-end puis congés maternité, j’ai aussi commandé un flacon d’Uriage Bariederm Cica-Huile, que je viens tout juste d’ouvrir. J’utilise différents produits de cette marque sur d’autres types de soins et les apprécie. À suivre !

Pas de grandes envies ni de sensibilité vraiment exacerbée

Je n’ai pas coché toutes les cases des symptômes de grossesse les plus répandus. Je n’ai presque jamais pleuré. Il a fallu une série émouvante ou que je sois excédée (une fois avec une l’assistance informatique du travail qui me prenait pour une idiote et une autre avec SFR après qu’un conseiller m’aie arnaquée et fait souscrire contre mon gré un énorme abonnement à de nombreux bouquets (merci Canal+ qui a un super SAV et a pu tout annuler)) pour que je fonde en larmes.

Prendre des nouvelles de bébé à travers trois échographies

J’ai passé trois échographies au cours des six premiers mois :

  • la 1re (vessie pleine ah ah), à 11 SA+1, avec une radiologue adorable (« regardez, ce sont les jambes », etc.). C’était le début du 3e mois de grossesse et la 1re fois que nous voyions notre petit. Nous avons aussi entendu son cœur. Tout cela était donc bien réel ! Cela nous a permis d’annoncer la bonne nouvelle à nos parents, que nous voyions pendant nos congés quelques jours plus tard. Nous avons ensuite attendu le début du 2e trimestre pour informer – à distance – les autres membres de nos familles.
  • la 2e, à 13 SA+6, avec une radiologue grincheuse qui pestait parce que mini-nous était cette fois trop grand. En deux semaines et demi (de repos), il avait en tout cas énormément changé. Nous sommes passés de « tu as vu ses bras ? » à « on dirait qu’il fait coucou avec sa main ».
  • la 3e, à 22 SA+6, donc peu avant la fin du 5e mois de grossesse, à la maternité avec une sage-femme ultra gentille, qui nous expliquait tout et parlait gentiment au bébé. Lui était gentiment installé la tête en bas, les pieds devant le front et les mains près de la tête (il a grandi depuis et est toujours dans le coin, je le sens très localisé !). Durant cette écho, tous les organes sont étudiés et nous avons vu jusqu’aux artères de son cœur ! Et c’est à cette occasion que nous avons appris que nous attendions un petit garçon.

Monsieur a pu assister aux trois échographies avec son pass sanitaire même si la radiologue grincheuse le regardait quand même de travers. Le suivi de grossesse est tellement centré sur la femme, il est pourtant si important que le futur papa soit lui aussi associé dès qu’il s’agit du bébé !

Un suivi médical régulier

Les consultations médicales, en dehors de tout problème, ponctuent la grossesse. Pendant les deux premiers mois, j’ai vu ma généraliste, qui a fait les premières prescriptions. La découverte de la grossesse déclenche une ordonnance mensuelle pour se rendre au labo jusqu’à après l’accouchement. Non immunisée contre la toxoplasmose, je ne risque pas de passer à côté malgré les restrictions à table. La sécurité sociale nous conseille une visite chez le dentiste à partir du 4e mois.

L’inscription précoce à la maternité

À Paris, on peut dire que l’on a le choix de la maternité. J’avoue ne pas m’être renseignée plus que cela sur les spécialités ou le type d’accompagnement proposés par les unes et les autres. J’ai simplement choisi entre les deux plus proches puisque j’habite pile au milieu de deux établissements. Je ne me serais pas vue prendre le risque d’avoir le double de trajet au moment d’aller accoucher ou faire de longs trajets à chaque rendez-vous.

À partir de la fin du premier trimestre, le suivi mensuel a été mis en place auprès de la maternité, dans le XIVe arrondissement de Paris. J’y ai demandé mon inscription autour de ma 6e semaine de grossesse (un terme déjà trop avancé pour certains établissements très demandés !). Si je regrette un peu d’être suivie par une obstétricienne – toujours très en retard et un peu pressée – plutôt que par une sage-femme et que j’aimerais qu’elle me parle d’autre chose que de mes résultats d’analyses qui ne sont pas scannés dans mon dossier en ligne (petits problèmes d’organisation !), le suivi reste très bien et les locaux sont récents. J’ai toute confiance en l’équipe sur place et trouve toujours un interlocuteur.

Le diagnostic anténal

Au moment de l’échographie de 1er trimestre, il nous est proposé de réaliser un diagnostic anténatal, dont l’objectif est de diagnostiquer une éventuelle trisomie. La mesure de la nuque du bébé est réalisée par le radiologue. Cette mesure est suivie d’une prise de sang. Ayant fait l’échographie le dernier jour de la période indiquée en août, il y a eu cafouillage – d’autant que les résultats sont continuellement perdus à la maternité et n’arrivent jamais dans mon dossier – et les résultats n’ont pas tenu compte de la mesure, qui était encourageante. Le risque a été estimé intermédiaire, à 1/800 principalement en raison de mon âge. Au début du 5e mois, on m’a fait faire en catastrophe (…) une prise de sang complémentaire à l’hôpital. Les résultats, reçus 10 jours après, étaient bons. Cet épisode de dépistage a été un peu particulier car il semble être facultatif mais les médecins sont très demandeurs et en alerte dessus. Je me suis à chaque étape sentie un peu pressée ou bousculée sur le sujet.

Le dépistage du diabète gestationnel

Je n’en avais jamais entendu parler auparavant mais un dépistage du diabète gestationnel est prescrit à la fin du 2e trimestre de grossesse. Si le suivi de mon taux de sucre montrait que tout allait bien de ce côté, j’ai toutefois dû me rendre au laboratoire pour rassurer le médecin (j’ai plus de 35 ans, un léger surpoids…). Il s’agit de faire une prise de sang puis d’avaler du glucose en grande quantité (moi qui ne suis pas très sucré et encore moins pendant ma grossesse… chouette) et de refaire une prise de sang au bout d’une heure puis encore une heure après.

J’étais au départ à moitié rassurée car la laborantine m’a expliqué que des femmes se sentaient mal, avaient des nausées, vomissaient… J’ai bien tenté de faire un peu d’humour mais elle m’a donné un sac à vomi. Euh… Bon, heureusement, rien de tout ça. J’ai juste eu un coup de fatigue et un bon mal de crâne pour quelques heures. En buvant pas mal d’eau après, le jus d’un citron, et en prenant finalement un Doliprane et l’air (j’avais posé ma journée), ça a été mieux. J’ai eu les résultats très vite dans la matinée après l’examen et mes taux étaient bas. Plus que questionnements que de mal !

Commencer à sentir bébé bouger

À partir du tout début de 2e trimestre, j’ai vraiment eu l’impression de sentir des petites choses, vraiment subtiles au départ, comme un poisson qui passerait dans un bocal. C’était en septembre. Ca a été bien plus franc aux premiers jours du 5e mois et en octobre et vraiment perceptible par Monsieur à l’approche du 6e mois. Il a senti le bébé bouger pour la 1re fois deux jours avant la 2e écho et c’est devenu de plus en plus franc ensuite en novembre. Je vois parfois un endroit de mon ventre se soulever. A la fin du 2e trimestre, cela fait un bon moment que les mouvements sont très clairs.

Les premiers cours de préparation à la naissance

Il était prévu que je suive la préparation à la naissance organisée en groupe à la maternité. Cela a été annulé au début du 5e mois. Il était alors trop tard pour de nombreux professionnels, bookés des mois à l’avance. Ne parlons même pas de yoga ou autres. Mais, heureusement, j’ai trouvé !

Le début du 6e mois a donc débuté avec la rencontre d’une sage-femme « en ville », que j’ai vue ensuite pour les trois premiers des sept cours individuels de préparation à la naissance. Au départ, cela me semblait tôt pour commencer et, finalement, je me rends compte qu’en dehors de ce qui concerne le jour J de l’accouchement, les sujets évoquent des préoccupations ou que j’ai ou nous avons dès maintenant : l’équipement à acquérir, les éventuels problèmes de la grossesse, etc. Monsieur peut participer à certains cours, quand les horaires le permettent. Parfait !

Le 6e mois et le début des petits et des gros achats

Tout futur parent doit se demander à quel moment initier les achats pour accueillir son enfant. Au 6e mois, le dernier trimestre approchant et les nouvelles de bébé étant bonnes, nous avons profité de promotions (je suis inondée de pubs sponsorisées sur les réseaux sociaux), notamment à l’approche du black friday, pour passer de premières commandes.

Les premiers vêtements de bébé auront en fait été des chaussettes car ma mère s’est rendue à une braderie. Juste après, à la Toussaint, Monsieur et moi avons fait en ligne nos premiers vrais achats de vêtements en 1 et 3 mois chez Vert baudet et chez Kiabi. Nous nous sommes basés sur la liste fournie par la maternité pour les deux sacs demandés pour la salle de naissance et le séjour qui suivra mais n’avons pas encore tout. Pour le moment, nous n’avons rien pris en taille naissance et pas encore assez de 1 mois mais Monsieur comme moi mesurions 53 cms à la naissance et bébé semble être pour le moment plutôt grand.

Je n’avais presque jamais mis les pieds chez Kiabi avant ma grossesse mais dois avouer avoir été agréablement surprise par leurs collections, à prix vraiment doux. Pour des robes de grossesse qui sont portées sur une durée restreinte comme pour des vêtements en 1 mois, l’enseigne est toute indiquée !

L’équipement nous donne pas mal à réfléchir. Par exemple : pour les uns, le cocoonababy est indispensable, pour les autres, n’étant pas utilisé la nuit, il est superflu. Et quid de la table à langer sachant que nous n’avons pas de place pour un meuble supplémentaire dans notre chambre (la Béaba avec un pied pliable ?) ? Bref, tout cela nous donne du grain à moudre.

Nous nous sommes également lancés dans l’achat de matériel la semaine précédant le Black friday : baby cook, berceau tout simple en filet pour les nuits des premiers mois, commande de transat’, biberons, etc. La poussette – une Yoyo, la seule que j’arriverai à soulever dans les escaliers de l’immeuble et du métro ! – est également en cours d’achat et la commande de siège auto est imminente. J’enregistre achats et idées sur un tableau Pinterest dédié. Nous réfléchissons aussi doucement à des articles moins prioritaires – jouets d’éveil, etc. – et initions une liste de naissance.

Quelques achats pour moi

En dehors de trois robes, trois leggings de grossesse et de lingerie à renouveler très régulièrement (stop !), j’ai pour le moment fait peu d’achats pour moi. Je sens cela dit qu’une prochaine petite virée shopping pour préparer le dernier trimestre (tenues pour dormir, etc.) ne va pas être superflue car mon ventre s’arrondit vraiment de plus en plus.

J’ai acheté dès le début du 4e mois un coussin de maternité, que j’utilise pour me caler et dormir autant que possible sur le côté gauche. J’ai commandé et reçu au tout début du 5e mois un bola sur Etsy. J’étais un peu surprise de son vrai bruit de clochette (gling gling gling bonjour) mais je m’y suis faite.

Je m’interroge pas mal sur l’équipement à acquérir pour le séjour à la maternité et le début du post-partum mais la sage-femme devrait me donner des réponses dans le courant du 7e mois.

Mi-novembre, Monsieur et moi nous sommes offert quelque chose qui se réserve et qui est pour la période qui suivra la naissance. Ne vous attendez à rien de fou mais on garde un peu la surprise.

C’est parti pour le 3e trimestre !

Je ne saurais dire si les deux premiers trimestres sont passés vite ou lentement. Sans doute un peu les deux ! Je suis en tout cas ravie que ce 3e trimestre se déroule à la saison froide (et d’avoir eu un été moins caniculaire que les étés passés !) : merci la vie ♥

Bravo si vous êtes arrivés jusqu’en bas de l’article (ah ah) ! N’hésitez pas à réagir en commentaire. Je suis sûre d’avoir oublié 1000 choses mais cela aurait été dommage que j’oublie toutes celles dont je vous ai déjà parlé. M-3 avant la grande rencontre.

À bientôt !

Appelez-moi Lili. J'ai 41 ans, vis avec Monsieur, Poussin, notre fils de 2 ans, et, au rythme d'une garde alternée, avec son ado Junior, 17 ans. Originaire de Troyes et après avoir commencé mes études à Nancy, je suis arrivée en Ile-de-France en 2003 et vis désormais à Montrouge. J'aime voyager, bruncher, lire ou voir une comédie romantique... aller au théâtre ou pratiquer la zumba et le body balance font également partie de mes centres d'intérêt mais ne se combinent en ce moment pas à mon emploi du temps de maman d'un tout petit.

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