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« Être parisien, ce n’est pas être né à Paris, c’est y renaître » disait Sacha Guitry. Depuis 2003, je découvre chaque semaine un peu plus de la capitale française : des restaurants, des hôtels, des théâtres, des rues, etc. Parce que le blog de Lili est un blog de parisienne, j’espère que vous y trouvez des idées de sorties, que vous y viviez vous aussi ou que vous soyez de passage !
Les amateurs de cheesecake ont déjà entendu parler de l’une des stars de ce dessert : Rachel. Quant à moi, c’est son restaurant ouvert il y a quelques mois qui m’a tentée. Nous avons donc réservé une table pour le brunch dominical et poussé la porte de Rachel’s, adresse à la mode, le temps d’un repas qui nous a convaincus.
Pour la Saint-Valentin, j’ai emmené mon amoureux – en différé – bruncher sur la Seine. Le lieu de ce repas dominical est resté une surprise jusqu’à ce que nous soyons sur les quais. J’ai dû, jusqu’au jour J, calmer son imagination. Non, nous n’allions pas dans un lieu « à la mode » qui nous fait envie. Non, nous n’allions pas non plus dans le restaurant d’un palace. C’est à bord de la péniche « Paris en scène » que nous allions passer un peu plus de deux heures.
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Un dimanche où cela m’arrangeait d’être dans le quartier de Bastille, je suis allée bruncher au restaurant Bloom avec une amie. Installée face à un parc, l’adresse est une jolie cantine dans laquelle on mange local et fait maison dans de la belle vaisselle. Elle s’inscrit dans la lignée des adresses à la mode à Paris en ce moment avec des chaises en formica, des tables différentes les unes des autres, etc.
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Le lendemain de mon anniversaire, nous sommes allés bruncher avec deux couples d’amis et leurs enfants. J’ai donc cherché un restaurant parisien qui accueillerait sans difficulté trois petits de 6 mois à 3 ans et demi. C’est ainsi que nous avons réservé une grande table au Milk « Mum in her little kitchen », une sorte de jolie cantine rétro avec tables en formica et déco colorée et régressive, située dans le 17e arrondissement.
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Mon amoureux et moi sommes allés voir « Des souris et des hommes », l’histoire imaginée par l’écrivain John Steinbeck en 1937, sur la scène du théâtre du Palais Royal. C’est Monsieur qui a eu envie de voir la pièce. Il avait lu et aimé le livre et se souvenait des grandes lignes de l’histoire. Pour ma part, je n’avais vu que tout ou partie du film et avais presque tout oublié, sauf la violence de l’un des personnages principaux. Cela m’a permis de rester en haleine du début à la fin. En fait, toute la salle a retenu son souffle de bout en bout. « Des souris et des hommes » est un drame très réussi.
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Rien de tel qu’un bon hammam et qu’un rituel beauté pour se sentir détendue et purifiée. C’est en tout cas l’expérience que je suis allée tester au hammam et spa O’Kari, au cœur du quartier Montorgueil à Paris. L’adresse est à l’abri du regard des passants, dans les caves voûtées d’un bel hôtel particulier du 18e siècle.
Les femmes, seul public de l’établissement, se changent dans une salle à l’entrée et laissent leurs affaires dans un casier. J’avais apporté mon maillot de bains mais celles qui n’en ont pas, et certainement celles qui font des soins spécifiques, ont possibilité d’avoir un string jetable. Chacune a son peignoir et ses tongs en plastique, qui ne sont jamais mélangés à ceux des autres, ce qui est suffisamment rare pour être noté. Celles qui en ont besoin trouveront de quoi se démaquiller et des brosses à cheveux.Continue reading
Nous sommes allés tester, un soir après le travail, un concept récent : le spa privatif de Naturellement luxe, une adresse bien-être qui a ouvert en décembre dans le Sentier. S’il est possible d’y aller seul, le lieu est clairement orienté « couple ».
La décoration de Naturellement luxe est volontairement minimaliste : beaux rideaux clairs et leurs jolies lumières à l’entrée, etc. Cela permet de mettre en valeur les matériaux et les couleurs du lieu : pierre apparente, sols modernes et plus foncés, etc. Le parti pris est de proposer autre chose qu’un spa traditionnel avec buddhas, tissus colorés ou vaporeux et petite musique que je qualifierais de « Nature et découvertes ». Le lieu expose des travaux d’artistes : illustrations et sculptures.Continue reading
Trois mois après son ouverture, le bistrot contemporain Le Beaumarchais, situé dans le quartier de la Bastille, a lancé son brunch. Je suis donc allée tester ce tout nouveau lieu de rendez-vous dominical dès sa deuxième édition.
En entrant, on remarque immédiatement la beauté des lieux et le soin apporté à la décoration de ses différents espaces. Il faut dire que le restaurant s’est installé dans les anciens garages à carrosses et calèches de l’Hôtel particulier de Sagonne. L’étage était en préparation pour une soirée privée mais je n’ai pas pu m’empêcher d’aller observer ses boiseries et sa charmante cheminée.
Je n’ai connu le nom de Jeff Koons que lorsque ses œuvres ont été exposées au château de Versailles. L’insertion de l’art contemporain dans le cadre historique bâti pour Louis XIV avait fait grand bruit. J’ai pu en savoir plus sur l’artiste, dont chacun dirait qu’il ignore s’il est un génie ou un imposteur, en allant découvrir la rétrospective Jeff Koons au centre Pompidou, lors d’une visite privée qui s’est déroulée tôt un matin.
J’y ai appris qu’il était né en 1955 en Pennsylvanie et qu’il s’est découvert des intérêts artistiques très tôt, notamment dans le magasin de meubles de son père. On nous a présenté Jeff Koons comme un chef d’entreprise – qui prend en compte le marketing et la finance – et un chef d’orchestre. En effet, tout n’est pas de lui dans l’exposition. Il peut intégrer des objets de marque par exemple. Pour lui, l’installation prévaut.
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J’ai dû entendre parler de la cantine de Quentin, située près du canal Saint-Martin, l’été dernier pour la première fois. L’argument du « fait maison » et la fraîcheur des plats m’ont donné envie d’aller y déguster un repas. J’ai donc choisi d’aller y déjeuner lors de ma journée #parisjetaime. J’avais réservé la veille : précaution utile car il semblerait que le restau ait beaucoup d’habitués et les trois salles se sont assez vite remplies après notre arrivée (12h30, est-ce si tôt ?). L’ambiance des lieux est chaleureuse et les bouteilles de vin assurent une partie de la déco !
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