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Nous avons profité du calme du 15 août pour aller déjeuner au restaurant l’Île, à Issy-les-Moulineaux. Cette adresse est nichée dans la verdure sur l’île Saint-Germain, dans un cadre paisible peu éloigné de Paris et qui donne l’impression d’être en escapade.
Après avoir apprécié la cuisine de Julien Kerwien au restaurant Le Pas Sage, situé passage du Grand cerf, nous sommes allés goûter la carte de son voisin : Le Pas Sage Bar à vin.
Le Pas Sage et le Pas Sage Bar à vin sont une adresse déclinée en deux formules :
Au Pas Sage Bar à vin, ce sont le partage et la convivialité qui priment et réunissent les convives autour de produits de qualité. Les matières premières – fromage et charcuterie en majorité – sont très bien choisies. L’adresse sert des produits frais, livrés chaque matin.
Vous connaissez sans doute l’atelier Renault, sur les Champs-Élysées. Mais savez-vous que derrière ses larges baies vitrées se trouve également une brasserie contemporaine ? Ce restaurant se trouve à l’étage et se prolonge en terrasse, très fréquentée d’ailleurs le jour de notre venue. Mais c’est à l’intérieur que nous avons déjeuné. L’espace est très agréable et la déco particulièrement tendance et bien designée. L’espace joue sur la transparence avec de grandes vitres partout où il est possible de remplacer un mur par une vitre.
En ce moment, le Renault Kadjar, un crossover, est mis à l’honneur à l’atelier. Pour accompagner cette exposition, L’atelier Renault Café reçoit un chef invité : Juan Arbelaez a concocté une carte éphémère à déguster jusqu’à fin novembre. Ce jeune chef colombien a son restaurant : le « Plantxa » à Boulogne-Billancourt. On peut librement choisir des éléments de la carte éphémère ou de la carte traditionnelle pour composer son repas.
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Nous avons récemment découvert la partie bar-restaurant de l’hôtel Renaissance Arc de Triomphe, un 5 étoiles à la décoration contemporaine idéalement situé dans Paris, le temps d’un cocktail dînatoire.
Cette soirée aura été une première approche pour se faire une idée des lieux, qui accueillent ou initient des événements au fil des saisons : bar à fromages de chèvre, bar à fromages de montagne, fondues au Mont d’or, etc.
Tout au long de l’année, le restaurant et le bar accueillent les Parisiens et les touristes qui le souhaitent. Par exemple, un brunch family avec buffet pour tous et ateliers pour les enfants (42 € par adulte, 19,50 € pour les moins de 12 ans et gratuit pour les moins de 6 ans) est organisé le week-end dès 12h30.
Lors de notre venue, nous avons levé les yeux vers l’exposition éphémère de Julie Gauthron.
Si j’ai tendance à avoir le regard focalisé sur le Palais Garnier lorsque je me promène sur le boulevard de l’Opéra, mon dernier passage dans le quartier avait une toute autre raison : je suis allée découvrir la carte du restaurant de l’hôtel Edouard 7****.
Lorsqu’on est curieux, on se demande pourquoi baptiser un hôtel parisien du nom d’un roi britannique. Et la réponse est simple et passionnante ! Albert Edouard de Saxe-Cobourg-Gotha, fils de la reine Victoria et du Prince Albert, a régné sous le nom d’Edouard VII de 1901 à 1910. Amoureux de Paris, sa demeure parisienne, toute proche de l’Opéra, n’était autre que l’hôtel Edouard 7, construit en 1877 dans le plus pur style haussmannien. Amoureux des femmes, il semble ne pas simplement s’être contenté d’admirer les cantatrices et les actrices. C’est donc un peu sur les traces de ce roi britannique que l’on part en franchissant les portes de l’hôtel qu’a fréquenté cet ancien prince de Galles et empereur des Indes (quelle classe, non ?).
Le goût d’Edouard VII pour les femmes a inspiré la décoration du restaurant ces dernières années. Lors de mon déjeuner sur place, j’ai pu me rendre compte que des photos de pin-ups décoraient les murs (sous l’œil bienveillant du poisson) ! Des travaux ont commencé le 15 juillet et ces jeunes femmes vont laisser place à une autre ambiance et une autre décoration à la rentrée.
Le joli quartier de la rue Mouffetard est assez éloigné de mon chemin quotidien et je regrette parfois de ne pas plus souvent me rendre de ce coin animé de Paris. Invitée à goûter la carte d’une adresse bistronomique, le Comptoir des Arts, j’ai découvert un restaurant et une terrasse où il fait plus que bon s’installer autour d’une table !
Le Comptoir des Arts est né de la passion commune pour la cuisine de quatre amis qui ont fait leurs classes à l’école hôtelière Ferrandi. Tout y est préparé à base de produits frais et cela se voit !
Nous avons été installés en terrasse pour dîner un jour de grand soleil. Nous avons pu déguster la boisson fraîche dont nous avons rêvé tout l’après-midi : virgin mojito (6€) pour moi et mojito pour Monsieur.
J’ai passé pour la toute première fois les portes de l’hôtel 5 étoiles Hyatt Paris Madeleine le temps d’un déjeuner estival. Il suffit de traverser la réception pour prendre place dans l’élégant restaurant « La chinoiserie », installé sous une très belle verrière Eiffel. De larges fauteuils et des coussins accueillent confortablement les convives dans une ambiance très cosy.
Je dois avouer que je ne connaissais pas, jusque là, la brasserie Flottes, qui semble pourtant être une institution, à deux pas de la place de la Concorde, du jardin des Tuileries et de la Cour des Comptes. La famille Flottes ne s’est pas arrêtée là et a ouvert, entre autres, un comptoir gourmand mitoyen à la brasserie : le petit Flottes, à la croisée entre la cantine un peu chic et la boutique.
La porte d’Auteuil compte une nouvelle adresse gourmande. Auteuil Brasserie n’est rien de moins qu’un café, un bar et un restaurant avec terrasse à l’étage. La déco du restaurant, signée Laura Gonzalez, est pensée dans un esprit récup’ et se veut moderne. Une vraie réussite que mon amie et moi avons notée dès notre arrivée.
Pour débuter l’été d’une bien agréable façon, je me suis rendue sur la terrasse de la suite présidentielle de l’hôtel Warwick, un 4 étoiles situé à deux pas des Champs-Élysées.
Cet hôtel fait partie du groupe Warwick International Hôtels, qui compte près de 60 hôtels et resorts haut de gamme ou luxe à travers le monde. L’autre adresse parisienne est l’hôtel Westminster, rue de la Paix (la rue que l’on convoite tous au Monopoly depuis notre plus tendre enfance). Tous les hôtels du groupe ont en commun une situation géographique idéale : 6e avenue à New York, etc.
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