J’ai été invitée à une soirée très énigmatique il y a quelques temps. Cela a commencé par un courriel évoquant une expérience originale, une enquête et le mot-dièse #VenezVérifier. J’ai hésité à répondre (que me voulait-on ?!) puis la curiosité l’a emporté. C’est ainsi que j’ai donné signe de vie. En voyant s’afficher sur mon écran une carte dont je vous montre un morceau, j’ai été sûre de répondre présente et de me rendre à la soirée mystère. Une semaine avant ladite date, j’ai su que j’étais invitée par Fleury Michon et que cela avait un lien avec le surimi.
Connaissant le produit et ses ingrédients qui tranchent avec le cliché « le surimi comporte des restes de poissons », je me demandais quelle enquête m’attendait…
Les bâtonnets moelleux Fleury Michon sont toujours élaborés à partir de chairs de colin et de merlu. On y ajoute de l’amidon de blé, de la fécule de pomme de terre, des blancs d’œufs, de l’huile de colza, du sel, de l’arôme naturel aux extraits de crabe et du paprika pour la couleur.
Avec à peine 20 Kcalories par bâtonnet, le bâtonnet moelleux est un vrai allié minceur apportant des protéines indispensables pour l’organisme. Il contient moins de 5% de matières grasses et vous apporte aussi des glucides complexes (10%), carburant essentiel de l’effort.
Les bâtonnets Moelleux Fleury Michon sont sans glutamate, polyphosphate et sorbitol.
Au purgatoire, on nous a présenté la grande campagne lancée le 1er avril : Glenn, Nick et Rob, les pêcheurs qui travaillent en Alaska pour Fleury-Michon, attendent cinq blogueurs, trois consommateurs et deux journalistes pour leur prouver que le surimi est un produit frais, qui ne contient que de bons ingrédients et dont les poissons viennent directement du large de l’Alaska. Wahou !
Le chef Jérôme Bertin a fabriqué des bâtonnets de surimi sous nos yeux. Tous les ingrédients naturels étaient présents. Il les a assemblés puis les a passés au four à vapeur (tiens, ça existe !). Une fois toutes les étapes terminées, il les a roulés… Incroyable, ça faisait vraiment du surimi : Bon, évidemment, au quotidien, les bâtonnets sont faits avec des machines… Le moindre bâtonnet serait un vrai luxe sans cela.
Puis, nous nous sommes régalés du délicieux buffet que l’on nous avait préparé : des croques-monsieur au surimi, des samoussas au surimi, de délicieuses tartines, etc.
Quelques bouchées de dessert – sans surimi, hein ! – ont fini de nous combler.
Je suis rentrée avec une nouvelle clé USB : après le paquet de surimi.. le bâtonnet ! La classe, non ?
#VenezVérifier se passe en quatre étapes pour les blogueurs.
– Je viens de vous raconter la première.
– Je ne vais malheureusement pas pouvoir assister à la deuxième : la visite de l’usine de surimi Fleury-Michon (j’ai une bonne excuse : je pars en Floride !).
– La troisième est un test d’amarinage pour tester nos capacités physiques.
– Et la dernière est… un voyage en Alaska !
Ne pouvant assister à la visite de l’usine, il est fort probable que je ne puisse pas faire partie de la suite de l’aventure… (Snif…). Mais elle est belle, non ?
On les a meme pas goute les batonnets faits par le chef….
La FLoride la chance…
Oui, c’est dommage, j’aurais bien goûté aussi 😉
Je suis impatiente de partir en vacances 🙂
Dommage que Fleury Michon ne fait pas le même type d’opération avec son jambon qui est tout de même sa principale activité. (peut-être que la marque a quelque chose à cacher?)
Bonjour, je ne pense pas que la marque aie grand chose à cacher mais le jambon inquiète moins les français que le surimi, qui a la réputation d’être composé de tout ce qui passe… Et aller vérifier comment sont préparés les cochons, ce n’est pas très ragoûtant 😉
Bonne journée !
Un documentaire diffusé il y a quelques temps sur France 2 explique très bien la réalité du cochon: http://youtu.be/kuBTltB4W5g Seul le cochon bio a été élevé dans de bonnes conditions:
http://astuce-conso.over-blog.com/2014/04/a-la-decouverte-d-un-elevage-de-porcs-biologiques-dans-la-minute-bio.html
Mais tout ça s’éloigne un peu trop du surimi!
Bonne journée à vous!