La saga Adopted love, signée Gaia Alexia, semble être devenue, en trois ans, incontournable pour les lectrices de new romance. Il faut dire aussi, qu’auparavant, elle a rencontré un grand succès sur Fyctia, plateforme française d’écriture en ligne. J’ai donc cédé à ma curiosité et viens de terminer le 1er des trois tomes.

J’y ai fait la connaissance de Teagan, orphelin qui, à l’aube de sa majorité, doit se tenir à carreau pour échapper à la prison et découvre une nouvelle famille d’accueil dont Elena, qui a le même âge que lui et ses propres démons, fait partie. J’ai mis pas mal de temps à lire le roman mais l’ai apprécié. Je vous explique tout cela !

L’histoire d’Adopted love, tome 1

« Orphelin, Teagan erre depuis son plus jeune âge de foyers en familles d’accueil.

Bad boy écorché par la vie, la justice le rattrape à l’aube de ses 18 ans. La sentence ? Un an de conditionnelle durant lequel il devra se tenir à carreau s’il ne veut pas finir en prison.

Il ne lui reste qu’une chance de se remettre dans le droit chemin et c’est dans une ultime famille d’accueil qu’elle va se jouer. Mais la rencontre avec Elena, la fille aînée de la famille risque de compliquer les choses« .

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Mes impressions sur le 1er tome d’Adopted love

Adopted love, une série sortie en poche et actuellement en trois tomes, est un coup de cœur pour de nombreuses lectrices. Si j’ai aimé ma lecture, cela n’a pas pu aller pour moi jusqu’au stade « adorer ». Je pense que cela s’explique facilement : le héros a 17 ans, soit seulement 3 ou 4 ans de plus que mon beau-fils. Outre le fait que je me rende compte de cette extrême jeunesse, les deux adolescents ont en commun de traverser une période difficile. Si les causes sont très différentes, certaines conséquences sont similaires. Or c’est aussi très compliqué pour les adultes qui entourent un jeune en difficulté. Je le sais trop bien pour pouvoir rêver, m’évader et pour que chaque acte irréfléchi du héros du livre ne fasse pas ressortir beaucoup de choses chez moi. La résonance en cette période de rentrée a été beaucoup trop forte.

Teagan est un héros qui m’a donné envie de l’aider plutôt que de me faire rêver. Souvent, mes coups de cœur en new romance découlent d’une projection que je fais sur les héros et le couple qu’ils forment. Ici, je sentais leur jeune âge et leur détresse. Je n’ai donc pas du tout vu le roman comme un roman d’amour, même s’il en est question.

Ce n’est pas courant : l’histoire est entièrement narrée du point de vue du héros. S’il parle très peu, mais de plus en plus au fil du livre, on peut donc suivre le fil de ses pensées. Teagan a beaucoup de raisons de souffrir autant qu’il souffre. Cela se manifeste chez lui par de la violence et des comportements déviants.

On l’accompagne dans son évolution. On observe comme son milieu influe sur lui et comme il est considéré comme une casserole d’eau bouillante sur un feu. Le débordement n’est jamais loin, il faut toujours prendre des pincettes. Teagan ne semble pas avoir le luxe de pouvoir avoir des perspectives d’avenir. Il survit en permanence. Il a lui-même quelques trous dans ses souvenirs et nous vivons en même temps que lui des moments de révélation.

Son destin est parallèle à celui de son assistante sociale, Nathalie Solis, à laquelle il parle et à laquelle il est attaché. La jeune femme semble dévouée et adorable. Teagan a un ami de toujours, lui aussi orphelin : Benito. J’espérais sans cesse qu’il évite d’aller le retrouver car on sent le potentiel nid à ennuis…

Au lycée, ce n’est pas Teagan qui se lie aux autres, d’autant qu’il ne parle pas ou presque. Ce sont les autres qui viennent à lui, tous comme fascinés ou dérangés par ce grand ado très tatoué et qui fait mauvais genre.

La famille dans laquelle il est accueilli semble avoir ses propres failles et secrets mais est globalement aimante et bienveillante. Le père est compliqué à cerner, la mère fragile, la fille en crise et le garçon gentil.

J’ai du mal à dire quelle serait ma conclusion sur le 1er tome d’Adopted love. J’ai été peu disponible pendant ma période de lecture donc cela n’a pas aidé (entre le travail et une succession de départs en week-end). J’ai probablement promené le roman trois grosses semaines et été tentée de lire autre chose car c’est plutôt d’un roman doudou dont j’ai envie en ce moment. Mais le livre m’a tout de même plu. On fait le point après ma lecture du 2e ?

Et vous, connaissez-vous Adopted love ? Avez-vous envie de découvrir la saga ?

Adopted love, tome 1, de Gaia Alexia
Sorti le 12 octobre 2017
Hugo poche – Prix papier: 7,60 €
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Appelez-moi Lili. J'ai 41 ans, vis avec Monsieur, Poussin, notre fils de 2 ans, et, au rythme d'une garde alternée, avec son ado Junior, 17 ans. Originaire de Troyes et après avoir commencé mes études à Nancy, je suis arrivée en Ile-de-France en 2003 et vis désormais à Montrouge. J'aime voyager, bruncher, lire ou voir une comédie romantique... aller au théâtre ou pratiquer la zumba et le body balance font également partie de mes centres d'intérêt mais ne se combinent en ce moment pas à mon emploi du temps de maman d'un tout petit.

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