J’ai découvert le duo d’écrivaines Christina Lauren à l’été 2015 avec le début de la saga des Beautiful. A la même époque, leur saga Wild Seasons était en cours de publication. J’étais curieuse de la découvrir au moins en partie mais hésitais un peu car les romans signés Christina Lauren ont pu me plaire mais j’en ai trouvé d’autres, plutôt des « anciens » d’ailleurs, plus médiocres (notamment Beautiful beginning…). Mais quand j’ai eu l’occasion ce début d’automne d’acheter à bon prix les saisons 2 et 3 de Wild Seasons, je l’ai saisie. C’est ainsi que je viens de refermer Dirty rowdy thing. Sympa même si j’attends désespérément un coup de cœur !
Dirty rowdy thing : l’histoire
« Contrairement à ses meilleures amies, Mia et Lola, Harlow Vega est connue pour flirter en permanence. En un week-end à Las Vegas, elle a le temps d’épouser un robuste pêcheur canadien au charme ravageur, Finn Roberts, et d’éprouver ses dons particuliers à l’horizontale, ses mains musclées, ses lèvres, son corps tout entier… Bref, Finn est l’homme idéal.
À un détail près : tout était facile, torride et excitant jusqu’à ce qu’il retourne travailler dans son lointain Canada. Harlow n’est pas prête pour une relation suivie mais leurs retrouvailles pleines de tension sexuelle leur permettant à tous les deux d’échapper à la réalité. Ni l’un ni l’autre ne sait comment gérer cela. Une nuit ensemble, puis une autre, et le mystérieux voyage d’affaires de Finn se prolonge pendant des semaines. Ils sont d’accord sur un point : aucune limite au lit, mais très rapidement, leur plan-cul commence à ressembler à une vraie relation. Et pour deux accros du contrôle, le dernier plongeon est le plus difficile« .
Mes impressions sur Dirty rowdy thing
La couverture annonce la couleur avec l’indication « Coucher avec son ex n’a qu’un seul intérêt… tomber amoureux ». Au passage, je ne suis pas d’accord ! Avec Wild Seasons, on est vraiment dans le registre de la romance dramatico-érotique. Le roman se lit facilement même s’il ne m’a pas vraiment tenue en haleine.
L’histoire n’est pas très développée et, même si chaque tome semble parler du sort d’un couple différent, j’ai senti que la lecture du 1er tome m’aurait appris des choses. Le début doit sans doute détailler les prémices de la rencontre alcoolisée entre Harlow et Finn ainsi que leur divorce dès le lendemain. Je m’attendais quand même peut-être à un récit un peu plus fouillé.
Finn est dominateur et Harlow se soumet de bonne grâce. Dès que le héros a parlé corde et fessée, je me suis dit « allons bon ! ». J’ai une préférence pour les histoires qui détaillent la façon dont les personnages s’attirent. Ici, on passe directement à la phase consommation. Mais vous allez me dire à juste titre que c’était prévisible.
Harlow vient d’un milieu favorisé et est stagiaire 20h par semaine dans le secteur de la communication. Sa problématique dans le roman concerne un problème familial, qui touche malheureusement de nombreuses personnes. Elle n’a pas prévu de s’attacher à un homme et garde donc pour elle les sujets sérieux.
Finn est canadien, pécheur et a des problèmes, notamment financiers, dans son entreprise familiale. S’il est hypersexualisé et a des pratiques que tout le monde n’a pas, il n’est pas un coureur pour autant et pourrait s’attacher à une femme…
Je ne sais pas combien de temps j’ai mis précisément à lire le roman, peut-être plus ou moins deux semaines. Je ne me suis pas forcée à avancer dans le récit mais trouvais parfois mieux à faire. En situation de stress, sauf si mon roman me passionne, je peux avoir du mal à faire la coupure travail-temps libre, surtout quand les deux se passent dans la même pièce…
Je lirai la saison 3, que j’ai déjà achetée, mais vais sans doute intercaler quelques lectures d’ici là. Et vous, avez-vous déjà lu tout ou partie de la saga Wild Seasons ?
Wild Seasons saison 2 : Dirty rowdy thing, de Christina Lauren
Publié le 4 juin 2015 – Poche : 6,95 €, format numérique : 7,99€
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