Depuis le 1er confinement, je lis un peu de romances historiques. La plus marquante à mes yeux est Les Chevaliers des Highlands (les tomes 4 à 6 m’attendent d’ailleurs !). Dans un esprit qui semblait proche, j’ai eu l’opportunité d’emprunter La Disparue des Highlands, le 1er tome de la saga Le Souffle des Highlands de Natacha J. Collins. L’on y suit l’histoire de la fille d’un chef de clan, promise au fils pas franchement lisse du clan ennemi. De la campagne écossaise à de sombres cachots, tout est loin de se passer au sein de châteaux. Si la lecture ne me laissera peut-être pas un souvenir durable, elle a très agréablement agrémenté des trajets en métro et car. Sympa !
La Disparue des Highlands : l’histoire
« Écosse, XIIIe siècle.
Quand sa mère lui apprend le nom de l’homme qu’elle doit épouser, Kenna se sent trahie, vendue. Comment ses parents peuvent-ils l’unir à un Fraser, ce clan de brutes, d’assassins… leurs ennemis de toujours ? Pourtant, lorsqu’elle rencontre son promis pour la première fois, Kenna est surprise : Liam se révèle être un homme aimable, peut-être même séduisant. Tout le contraire de son cousin Murtagh, un Highlander aussi ténébreux et solitaire que Liam est sociable. Mais, à mesure que les noces approchent et que le comportement de son fiancé se fait plus ambigu, Kenna se demande lequel des deux cousins est le plus à craindre… »
Mes impressions sur La Disparue des Highlands
J’ai lu assez doucement, seulement dans le métro donc de façon découpée, les 100 premières pages du livre. Et j’ai ensuite dévoré les centaines d’autres pages le temps d’une seule journée de blogtrip, qui a compté pas mal d’heures de métro et de car. J’ai en effet le plaisir de pouvoir lire sans difficulté en roulant. C’était très apaisant de se plonger dans le roman.
Le style d’écriture des romances historiques a quelque chose d’un peu à part et de vieillot mais d’amusant, qui fait sourire gentiment. Je vous le vends bien, non ? Ah ah. Le narrateur est omniscient : on ne suit pas la pensée d’un unique personnage. En lisant la quatrième de couverture, on imagine déjà qu’une trame d’histoire se dessine. Rien ne se passe finalement comme prévu et le roman apporte son lot de surprises. Si vous veux vous intriguer, je peux vous dire qu’il a un point commun avec la Belle au bois dormant et un autre avec Sissi !
L’héroïne est courageuse, aimante et attirée par le tir à l’arc. Kenna vit heureuse auprès de ses parents, de son frère aîné et de son plus jeune frère mais aussi d’un bébé à naître et d’une sage gouvernante. Du jour au lendemain, tout bascule : elle est promise à un jeune homme dont elle ne sait rien, qui se révèle assez séduisant. Mais puisqu’il faut bien une histoire qui ne soit pas pliée en 50 pages, un événement surgit. La Disparue des Highlands prend alors un autre tour.
Le héros du livre est solide, séduisant et parfois un peu renfrogné. Son mot préféré est probablement « Cordieu ». Il a tout pour plaire aux lectrices ! Le problème ? L’histoire d’amour est interdite à plus d’un titre, que les personnages en aient conscience ou non.
Je ne veux vraiment pas vous en dévoiler trop sur l’histoire mais cette romance historique est réussie et m’a fait passer un bon moment.
Et vous, est-ce qu’il vous arrive de lire des romances historiques ?
Le Souffle des Highlands, tome 1 : La Disparue des Highlands, de Natacha J. Collins
Paru le 1er septembre 2018 – 384 pages
Prix papier : 7,90 € – Prix numérique : 2,99 €
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