Vêtements bébé

J’ai toujours imaginé avoir « deux enfants à moi ». Les pleurs du nourrisson, les nuits si courtes avec le rythme difficile à caler et les virus incessants offerts par la vie en crèche m’ont presque fait douter. Serais-je physiquement capable d’assumer de nouveau un bébé ? On ne connaît jamais vraiment la réponse mais tout dépend de tellement de facteurs, notamment le tempérament de l’enfant. Ce serait dommage – de mon point de vue bien sûr – de se priver d’un autre enfant par peur de premiers mois ou de premières années difficiles.

Et surtout : en ayant mon 1er enfant juste avant mes 39 ans, je savais que je n’aurais pas le luxe d’attendre trop (sans cela, un écart minimal de 4 ans entre deux enfants m’aurait semblé plus gérable). Nous nous sommes donc dit que nous allions attendre d’avoir notre nouvel appartement fin 2023 puis de voir quand nous estimions que les nuits commençaient régulièrement à nous permettre de nous reposer davantage avant d’entamer un nouveau projet de grossesse.

La découverte de ma 2e grossesse

À 40 et 47 ans, après avoir mis du temps à avoir notre premier enfant et bercés par les discours sur la fertilité qui irait sur le déclin après 35 ans, nous ne nous attendions pas à ce que notre projet de 2e enfant ensemble (3e enfant pour Monsieur si vous avez suivi) se concrétise très rapidement… et pourtant si !

Depuis mon accouchement début 2022, j’ai des cycles courts dont je me plaignais. Je trouvais d’ailleurs que mon syndrome prémenstruel devenait vraiment fort (quelques boutons étaient apparu alors que ma peau est plutôt nette depuis ma 1re grossesse) et j’avais une ordonnance pour un bilan hormonal. Au 27e jour de ce dernier cycle, je savais par simple observation que mon ovulation devait remonter à plus de 14 jours et ai donc fait un test (périmé pour ne pas changer) rapide à la maison, qui s’est avéré sans aucun doute positif. Je suis allée confirmer cela au labo deux jours plus tard sans attendre plus car j’avais des rendez-vous pour des radios potentiellement à annuler en cas de grossesse quelques jours après.

Pour cette 2e grossesse et sachant que son début coïncidait avec le départ en retraite de ma gynécologue, j’ai eu envie d’un suivi par une sage-femme, profession que j’ai l’impression de mieux connaître depuis ma 1re grossesse et à travers les comptes que je suis sur Instagram (la sage-femme, Charline sage-femme, etc.).

Un début de grossesse en janvier pour une naissance en octobre

Il était prévu que si j’accouchais à terme, mon bébé allait naître au moment de l’anniversaire de son père (au final, j’ai accouché par déclenchement 11 jours avant son anniversaire). Pour notre 1er enfant, c’était le contraire : j’ai accouché 4 jours avant mon propre anniversaire. Nous nous sommes demandé si nous aurions un petit Scorpion pour rester sur la team « signes d’eau » et c’est finalement un petit garçon Balance que nous avons eu (comme son grand demi-frère et comme mon père).

Mon 1er mois de grossesse

Le 1er mois de grossesse passe toujours vite puisque l’on n’a, au départ, pas connaissance de notre état. J’ai eu des douleurs quelques jours avant les règles présumées, ai constaté un certain désordre digestif, l’état de mes cheveux et de ma peau n’était pas génial puis j’ai ressenti des tiraillements au niveau de la poitrine.

Mon 2e mois de grossesse

A 5 semaines ou 5 semaines et demie de grossesse, la fatigue s’est faite plus forte et la nausée est arrivée en force. Quand j’ai eu mon premier retour du travail avec des hauts le cœur sur mon trajet, j’ai pris rendez-vous chez le médecin et ai commencé à tourner au Primpéran, un antiémétique. Je devais faire des pauses dans la rue, ne pouvais pas parler en marchant et me sentais franchement mal dans ma station et sur les escalators. Dur dur !

Le désordre digestif évoqué au 1er mois est passé en mode « moins pire » mais ce n’était pas encore ça.

Mon ventre a commencé à vraiment s’arrondir : il était à un mois et demi comme à trois mois dans mon souvenir de ma première grossesse.

Mon 3e mois de grossesse

Le 3e mois a été celui de la première échographie : celle du 1er trimestre. C’était un vrai soulagement car les images sont concrètes ! J’avais choisi cette fois de la faire auprès d’une sage-femme échographiste et non dans un cabinet d’imagerie médicale. J’étais très contente de ce choix car la sage-femme a été très bien et a pris le temps qu’il fallait pour tout bien voir. Elle nous a demandé si nous voulions une estimation du sexe de l’enfant, sachant qu’elle n’en était pas sûre. Nous avons dit oui mais sans la rapporter (spoil : son estimation ne s’est pas vérifiée par la suite).

Au 3e mois, comme les semaines précédentes, j’ai eu un sommeil découpé voire des insomnies d’1h30 en pleine nuit. J’ai commencé à me sentir assez fatiguée. Mon fils s’est surtout réveillé autour de 6h20 à cette période donc je tendais l’oreille en fin de nuit.

Les nausées ont persisté.

Pour clore ce 3e mois, j’ai eu rendez-vous à la maternité, la même que celle dans laquelle j’étais allée pour mon premier enfant. Ca a eu un côté émouvant de revenir, d’emprunter la même entrée, de retourner au même étage après un coup d’œil aux fenêtres en me disant que j’avais séjourné là, quelque part, pendant trois nuits. La sage-femme a été très gentille et il a été convenu que je sois suivie jusqu’au 7e mois par une sage-femme « en ville », près de chez moi. Cela m’allait très bien.

Mon 4e mois de grossesse

Dès le début du mois, les forts maux de tête ont fait leur apparition, sans doute, au départ, à cause de nouvelles semelles orthopédiques puis en lien avec la fatigue. J’ai eu l’impression d’être plus fatiguée ce mois-ci et mon ventre s’est arrondi à vitesse grand V. Les nausées sont restées présentes, particulièrement prononcées en fin d’après-midi et début de soirée.

À la fin du mois, j’ai rencontré la sage-femme que j’ai choisie pour mon suivi de fin de 4e, 5e et 6e mois et qui pouvait accompagner mon retour à la maison avec mon bébé. Elle a été très gentille et j’ai pu écouter les mouvements de mon bébé mais pas son cœur pour cette fois-ci car elle avait des difficultés à le localiser. J’ai aussi su le lendemain, pour clore le mois, que c’était un garçon que nous attendions à l’occasion d’une échographie à la maternité. En effet, les images ayant vraiment été difficiles à avoir lors de l’échographie de 2e trimestre, un rendez-vous supplémentaire m’a été donné. La gynéco a été super et nous a tout bien montré.

En 2e partie de ce 4e mois, mon fils de 2 ans s’est montré plus inquiet, en particulier en fin de nuit (4h30-5h30) ou au moment de l’endormissement pour les siestes. Il est entré dans une phase où il avait besoin de moi et s’est mis à pleurer ou vraiment m’appeler si je faisais le mouvement de le déposer dans son lit. J’ai fait quelques siestes avec lui.

À cette même période, j’ai reçu de mon employeur les dates de mon congé maternité et ai particulièrement été contrariée de voir que la loi n’était, au départ, pas appliquée avec une période de 16 plutôt que de 26 semaines puisque notre foyer a déjà deux enfants à charge : Junior, mon beau-fils qui avait 17 ans et est en garde alternée, et Poussin, mon fils de 2 ans. S’en sont suivies des recherches de textes de référence – Codes de la sécurité sociale, du travail, jurisprudence du Conseil d’État, etc. – pour avoir des preuves incontestables de mes droits. Après huit jours d’attente, j’ai finalement reçu les bons documents et ai pu être rassurée.

Mon 5e mois de grossesse

Au 5e mois, les nausées, bien que parfois encore présentes, se sont très clairement atténuées. Je n’ai pu prendre que quelques cachets quand j’en avais besoin mais, au fil du mois, vraiment plus tous les jours. Mon ventre s’est vraiment arrondi durant ce 5e mois. J’ai l’impression d’avoir été comme au milieu du 7e mois la fois précédente.

C’est à la fin du 5e mois qu’a eu lieu l’échographie du 2e trimestre, qui a duré moins de 30 minutes. Mon bébé s’annonçant dans le haut des courbes, une échographie intermédiaire, dite de croissance, avant celle du 3e trimestre a été demandée par la gynécologue qui a fait celle de 22 SA. J’ai dû entendre parler au moins cinq fois du test du diabète gestationnel à faire au cours du mois suivant.

Durant le 5e mois, la fatigue et les nuits moyennes ont persisté. J’ai été facilement sensible. Lors de l’entretien prénatal avec la sage-femme, j’ai été rassurée d’entendre qu’elle m’accompagnerait vraiment après la naissance et ai été presque bouleversée d’entendre que nous aurions pu faire dormir Poussin sur le ventre à sa naissance car ses maux digestifs auraient pu être apaisés ou encore que je n’ai pas souffert d’une montée de lait, qui dure 48h et non trois semaines, mais très probablement d’un engorgement et que j’ai été mal accompagnée. Les débuts aux côtés d’un Poussin souvent inconsolable et mon 1er post partum ont été difficiles. L’approche du second m’a forcément un peu travaillée, même si je sais que chaque grossesse et chaque enfant sont différents.

Mon état de fatigue m’a également fait assez mal supporter le fait d’entendre que mon aîné, de deux ans et demi au moment de la naissance, n’allait pas être gardé le mercredi – et allait devoir quitter un peu plus tôt son mode de garde accessoirement les autres jours, ce qui s’entend – pendant les six mois de mon congé maternité. La perspective de gérer seule pendant dix heures deux enfants en bas âge aux besoins différents un jour par semaine m’a perturbée (Poussin a besoin d’un accompagnement pour l’endormissement qui peut être long ou en tout cas agité pour la sieste… un nouveau né peut avoir besoin de dormir dans les bras… Comment faire seule ?).

Mon 6e mois de grossesse

Dès le début du 6e mois, j’ai senti que mon ventre commençait à peser sur mon bassin. Je me suis pas mal élargie du bassin pendant ce mois.

Il a été ponctué par :

  • le test du glucose au labo à 26SA+5 : il faut passer deux heures sur place avec trois prises de sang pour suivre la réaction de l’organisme à l’absorption de 75g de sucre. J’ai eu une sensation de malaise pendant une dizaine de minutes au début de la 2e heure (coup de chaud, cœur qui s’emballe, envie de tomber) mais ça s’est globalement bien passé.
  • le rappel du vaccin contre la coqueluche (et le DTP) conformément à la recommandation actuelle de vacciner les femmes enceintes pour permettre au bébé d’avoir des anticorps à la naissance, le temps d’être lui-même vacciné.
  • une échographie de croissance, à la toute fin de mois. Bébé s’est, cette fois, positionné la tête en bas. Il reste dans le haut de toutes les courbes. La gynécologue qui a fait l’échographie à la maternité a mis en mots une crainte que j’avais depuis le mois précédent lorsqu’elle avait programmé ce rendez-vous : il n’était pas impossible que l’on m’impose un déclenchement avant terme sous deux conditions : que le bébé soit toujours estimé comme « imposant » et que mon ventre le soit aussi puisque si seul un critère est rempli, le risque d’erreur est important. Que de bébés annoncés à plus de 4 kgs naissent en en faisant 3,2 ! Etant vraiment de la team « bébé naît quand il est prêt », cela m’a contrariée.

Aux tous derniers jours du 6e mois, nous avons également commandé un doudou en trois exemplaires. Nous avions comme critères qu’il ne coûte pas 25€ puisque nous en voulions d’emblée plusieurs mais aussi qu’il sèche vite. En effet, avec Poussin, nous nous sommes aperçus qu’en lui associant tôt un doudou, de façon systématique dès 3-4 mois, c’est à celui-ci qu’il s’attachait mais aussi qu’il fallait qu’il sèche vite car il reste la semaine à la crèche et doit être lavé tous les week-ends. Autant dire qu’un séchage en moins de 24h, y compris l’hiver, est préférable.

Mon 7e mois de grossesse

Si j’ai travaillé au début du 7e mois, cela a été en grande partie un mois de « repos » de ce côté, notamment avec les congés posés au mois d’août. Les insomnies ont perduré – sans compter les pauses toilettes toutes les heures la nuit – et j’ai fait une sieste en journée à chaque fois que c’était possible.

Ce 7e mois a été marqué par :

  • deux massages prénataux que je me suis offert, l’un à Paris dans le XIVe, l’autre près de Troyes.
    A Paris, je suis allée chez Teresa Savoie, dans le XIVe. J’avais réservé, moyennant 76,50€, un massage d’une heure pour femme enceinte pour débuter mon 3e trimestre de grossesse. J’avais besoin de commencer à ralentir et d’être aidée à être plus détendue. Teresa Savoie m’a interrogée sur les zones qui auraient spécifiquement besoin d’être massée et s’est assurée que la pression me convenait bien. J’ai reçu un massage du corps entier en étant allongée d’un côté puis de l’autre. Elle a été très professionnelle, prévenante et à l’écoute. Cela m’a fait beaucoup de bien. J’ai aussi apprécié le fait de ne pas sentir que je n’étais qu’un numéro dans sa journée et qu’elle se souciait de prendre le temps.
    Près de Troyes, je suis allée chez Calinou massage bébé, que je recommande chaleureusement. Elle reçoit à domicile et ses gestes sont précis et atteignent vraiment leur objectif !
  • le rendez-vous de prévention chez la dentiste, qui m’a aussi parlé santé bucco-dentaire de l’enfant.

Mon ventre a pesé de plus en plus. J’ai eu quelques douleurs et suis allée voir une ostéopathe. Cela m’a fait du bien au dos.

Dix jours avant la fin du mois, j’ai fait une chute chez mes parents en essayant de passer entre ma mère et une chaise. Mes jambes ont percuté sur une bonne longueur la cheminée en pierre de mes parents. C’était assez violent – l’application immédiate de glace sur les parties touchées a bien aidé ! – mais mon ventre a été épargné. Cela m’a tout de même causé une frayeur pendant deux jours. J’ai gardé des traces pendant un moment et ai dû avoir un bel hématome interne au genou gauche car la douleur a été importante quelques mois (et commence à très bien s’estomper quatre mois plus tard).

Mon 8e mois de grossesse

Pour entamer ce 8e mois (à 32SA+3 ou 4), j’ai eu :

  • le rendez-vous de suivi chez la sage-femme. La maternité m’a fait un arrêt pathologique pour trois jours en raison de ma fatigue, physique et intellectuelle.
  • l’échographie du 3e trimestre, durant laquelle bébé a vaguement montré son profil, un peu plus clair que les fois précédentes. Toujours pas de 3D possible car le placenta lui servait un peu de coussin. Le bébé était toujours dans le haut des courbes et la menace de déclenchement était de plus en plus forte.
  • le rendez-vous avec l’anesthésiste, qui était beaucoup plus agréable que celle rencontrée à la fin de ma 1re grossesse ! Le rendez-vous s’est bien passé et je pensais de toute façon demander une péridurale.

Le bébé attendu étant le 3e enfant à charge du foyer, mon congé maternité a débuté assez rapidement dans ce 8e mois.

J’ai pu me mettre un peu plus sérieusement à la création d’une liste de naissance. Aux derniers jours, j’ai aussi préparé la majorité des affaires de bébé pour la maternité mais pas encore des miennes.

J’ai eu le plaisir de bénéficier d’un massage prénatal d’une heure offert dans le cadre d’une formation dédiée au massage de la femme enceinte à partir de 6 mois.

A 34SA + 3, j’ai dû passer de nouveaux tests en lien avec le glucose au laboratoire pour vérifier que je n’avais toujours pas de diabète gestationnel.  Avec un bébé en haut des courbes (98e percentile) et après le fameux test du glucose revenu parfaitement normal (je ne suis pas gourmande de sucre donc suis soulagée), j’ai fait de nouveau deux prises de sang : une à jeun, l’autre plus tard dans la matinée, deux heures après le début du petit-déjeuner. Les résultats sont revenus de nouveau parfaitement normaux.

Après avoir pris 3 kg au 7e mois du fait des vacances dans ma famille et de la chaleur mal supportée qui m’a empêchée de bouger), 2,6 kg au 6e mois (j’ai eu seulement deux jours de travail sur site, le télétravail m’a rendue sédentaire), etc., j’étais contente de voir que j’avais plus perdu quelques centaines de grammes qu’autre chose lors des débuts de mon arrêt et du congé maternité ! J’ai rêvé que cela me fasse échapper au déclenchement de l’accouchement mais je n’ai pas été entendue. En effet, ce serait trop simple si cela avait le moindre impact sur le bébé !

Pour finir ce 8e mois, j’ai eu :

une échographie de croissance à la maternité avec un sage-femme. Ça a duré 10 minutes, le temps de reprendre les mesures du bébé. Encore du 99e, du 97e, du 92e percentiles… Bébé était déjà estimé à près de 3,5 kg.

– le dernier rendez-vous mensuel avec la sage-femme de la maternité et une apprentie sage-femme. Tout en me disant que je pouvais refuser, on m’a fortement incitée à accepter la programmation d’un déclenchement, ce que je sentais donc venir depuis quatre mois, pour donner plus de chances à bébé de sortir par lui-même sans garder les épaules coincées à cause de son développement important. J’ai donc eu une date pour appeler la salle de naissance : le jour des 39SA, le temps que ses poumons maturent.

Le col a été vérifié pour la 1re fois de la grossesse : il était fermé (mais peut-être mou) et bébé assez haut. Mon projet de naissance a été regardé (un questionnaire de trois pages établi par la maternité, qui a évolué sur la question car il y a 2,5 ans, ce que j’avais noté spontanément n’avait pas été regarde un peu sur le mode « pas besoin »). J’ai su que la maternité avant aussi fait en sorte que l’on puisse bouger et faire du ballon sous péridurale.

J’ai commencé à accepter cette histoire de déclenchement car je voyais bien qu’il n’y avait pas de solution idéale. Mais ça m’a travaillée et j’ai encore mal dormi après ça (sans parler de mon nez bouché !) et j’ai senti mon ventre avec un léger fond permanent de « douleurs de règles ». Le point positif, qui aurait été effacé si j’avais accouché avant, est que cela a permis d’organiser la garde de mon fils de 2,5 ans.

Le jour de ce rendez-vous, j’ai été envoyée en salle de naissance pour un monitoring car le rythme cardiaque du bébé était élevée (tachycardie), dans les 175 (155 la veille pendant l’écho). J’ai pu être rassurée rapidement : il était à 120 dès le début du monitoring. Cet excès devait être dû à mon propre stress… Allergique à la pénicilline, j’ai aussi eu le prélèvement Streptocoque B ce jour-là, renouvelé au moment de l’accouchement.

Mon 9e mois de grossesse

J’ai su en entamant le 9e mois qu’il serait court et ne durerait en réalité que deux semaines au maximum du fait du déclenchement. Ce dernier mois n’est vraiment pas mon préféré. Chaque micro douleur nous fait nous demander si le travail va commencer (et donc comment organiser la garde de l’aîné si cela survient en pleine nuit). J’ai fait ma partie de la valise de maternité en ce début de 9e mois et fait les ultimes commandes pour la maternité et l’après, comme l’achat de tisane stop lait Mamacitas (17,91 €) pour compléter mes achats de compléments alimentaires Hollis.

Contrairement à ma 1re grossesse, même si ma vessie me gênait parfois vraiment énormément, j’ai quand même pu rester mobile et ai bien moins souffert que la 1re fois. La croissance de mon bébé étant rapide, j’ai poursuivi mon crémage de ventre intensif matin et soir (surtout avec le beurre de karité Aromazone), même s’il était clair depuis l’été qu’il ne suffisait pas.

De façon plus générale, pour cette 2e grossesse, on m’a bien plus proposé de m’asseoir dans le métro que pendant la 1re. Au supermarché, j’ai davantage été aidée par les caissiers.

J’aurais sans doute encore mille choses à écrire mais suis évidemment prête à vous répondre dans les commentaires si vous avez des questions, qu’elles portent sur les produits utilisés ou des points que vous aimeriez que j’aborde ! Je suis tentée de vous parler déclenchement et ai des notes sur mes accouchements, dont je pourrais vous faire part si cela vous intéressait.

 
 
 
 
 
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A bientôt !

Appelez-moi Lili. J'ai 41 ans, vis avec Monsieur, nos deux fils nés en février 2022 (Poussin) et octobre 2024 (Baby A), et, au rythme d'une garde alternée, avec son ado Junior, 18 ans. Originaire de Troyes et après avoir commencé mes études à Nancy, je suis arrivée en Ile-de-France en 2003 et vis désormais à Montrouge. J'aime voyager, bruncher, lire ou voir une comédie romantique... aller au théâtre ou pratiquer la zumba et le body balance font également partie de mes centres d'intérêt mais ne se combinent en ce moment pas à mon emploi de jeune maman.

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