Le 14 février, je suis allée au ciné voir « LOL », le film que l’on compare à « la Boum », film cultissime pour un grand nombre de nanas comme moi. Une évidence : j’ai adoré ! Je me suis sentie un peu vieille, et puis finalement pas tant que ça.
« Lol » nous colle un peu la douleur du temps qui passe, le coeur encore serré par les beaux souvenirs que l’on n’a pas digérés…
On se souvient de tout : du lycée, d’avant, d’après, les 10 journaux intimes griffonnés, les journées racontées, les extraits de rien collés sur des pages, les voyages en bus, les mains qui se frôlent, les cheveux en pagaille, les rires, les salles de classe, le banc dans le jardin du lycée, les vêtements parfumés d’un autre dont on s’enivre, les écouteurs d’un lecteur CD qu’on se partage, la force de la bande d’amis…
Dans notre vie à nous, il n’y avait pas le métro mais des garages à vélos, il n’y avait pas les portables mais on s’écrivait des mots, il n’y avait pas les slims mais nos fringues faussement rétro…
La vie a toujours son lot de bulles de savon et de boulets de plomb. On la chérit toujours autant tout en la maudissant. Le bonheur et la difficulté d’exister sont encore mêlés. La complicité et la musique existent toujours.
Tout ça transpire de la vidéo que je poste dans ce billet. J’aime beaucoup cette chanson et son clip, petit concentré du film. Je ne peux que vous le conseiller. Nostalgiques, ne pas s’abstenir.
Appelez-moi Lili. J'ai 41 ans, vis avec Monsieur, Poussin, notre fils de 2 ans, et, au rythme d'une garde alternée, avec son ado Junior, 17 ans. Originaire de Troyes et après avoir commencé mes études à Nancy, je suis arrivée en Ile-de-France en 2003 et vis désormais à Montrouge. J'aime voyager, bruncher, lire ou voir une comédie romantique... aller au théâtre ou pratiquer la zumba et le body balance font également partie de mes centres d'intérêt mais ne se combinent en ce moment pas à mon emploi du temps de maman d'un tout petit.
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Nostalgique à souhait ! une bouffée d’air de notre adolescence, un soupçon de feu-notre innocence, et la résonance d’une certaine violence.
Les couloirs d’un bahut trop grand, trop vaste et qui, au fil des ans, se colore, s’humanise et se personnalise. Des regards qu’on croise, des voix qu’on entend, des silhouettes qu’on reconnait parmi tant et LE sentiment encore inconnu mais à fleur de peau qui nous brule les joues.
Des années passées à déambuler dans les allées du lycée, dans la cour du collège. Des chansons fredonnées, des visages et des prénoms déjà oubliés.
On tourne un jour la page pour en écrire une nouvelle,toujours plus belle, encore plus intense mais l’encre d’un passé nostalgique se diffuse éternellement dans les veines de notre histoire.
Ca me rappelle les textes qu’on écrivait au collège… J’ai un peu de mal à écrire les pages du bon livre mais ça viendra 😉 Bisous miss
je l’ai aussi vu ce film la et j’ai bien aimé, reconnue parfois, et parfois pas du tout par contre…
Mais bon heureusement, on fait pas tous les mêmes expériences!
Ne t’inquiète pas, je ne me suis pas reconnue dans tout : la drogue, les pétards, mettre la maison des parents en vrac, la fashion attitude : rien à voir ! Ca ressemble beaucoup plus au lycée du
VIIe devant lequel je passe près du boulot. Mais la nostalgie des amitiés du lycée est bien remontée à la surface ! 😉
même chose pour moi, j’ajouterais aussi les cuites et faire le mur!
Ah oui, en effet ! Je peux ajouter la même chose ! D’autant plus que je ne bois pas une goutte d’alcool !! C’est quand même fort de faire un film qui me parle alors que je n’ai rien en commun avec
ces p’tits jeunes ! 😉 lol
bienvenue alors au club de celle que les soirées amuses que jusqu’à une certaine heure, après le degré d’alcoolémie devient trop grand! et aussi des anti open bar ‘mais qu’au champagne’!
Et notre soft?