Toute la journée, la lumière a joué avec ce que les plaines lui offraient de couleurs. Le ciel a eu toutes les teintes, a déteint tant qu’il le pouvait sur l’humeur des promeneurs. A n’en pas douter, au moins mille larmes ont coulé à une fenêtre. Des coeurs lourds se sont noyés dans la musique. Des sabliers se sont écoulés tristement, ont été retournés. Le temps a passé. Des appels se sont perdus, n’ont pas été entendus. Des lèvres ont été mordues, des gorges se sont nouées. La petite danseuse d’une boîte à musique a tourné indéfiniment sous des yeux absents. Des comptines fredonnées se sont élevées doucement dans des foyers qui peinaient à se réchauffer. On ne saura jamais si les larmes ont vraiment chassé les peines de ceux qui les ont versées ni vers quel univers elles les ont emmenés.
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allez je pleure avec toi lili ! tu as oublié ceux qui se sont mordu la langue mdr…
C’est trop concret ça 😉 D’autant plus que celle qui se mod la langue fait pas mal d’autres bêtises, genre renverser une… (tu connais la suite !)
Et l’esprit de Noël bordel? : )
Des lèvres mordues et des langues nouées non? ; )
Demain est un autre jour !
Lol, ce n’est pas encore Noël !
Ceci dit, les lèvres mordues, ça ressemble plus à un réveillon du nouvel an qu’à un Noël avec les générations antérieures de la famille ;-))
C’est pas encore Noël mais c’est déjà l’esprit ; )
Eh oui ! Noël c’est pas fait pour danser sur la table en jupe t sans culotte ; )
Dis donc, lire ton article accompagné de ce morceau peut rapidement donner les larmes aux yeux durant une froide soirée d’hiver!Tes billets sont sympa en tout cas.
Alors, il faut lire autre chose après 😉
Merci beaucoup de ton compliment