Les jours parfois se ressemblent. Ceux de nos 25 ans sont bercés des mêmes questions que celles de nos 5 ans, en plus aiguës. « J’ai peut-être vécu le tiers de ma vie et qu’ai-je donc fait ? où suis-je allée ? qu’est-ce que j’aime ? ». Sans larmes et dans le calme, les vagues reviennent toujours raviver l’humidité du sable…
Quelles conclusions devons-nous tirer lorsque l’obtention de ce que l’on désire nous laisse de marbre, ou pire, dans l’insatisfaction ?
Que faire pour se connaître lorsque face à soi-même on ne parvient pas à se mettre à jour ?
Pourquoi les humains sont-ils modelés par l’inquiétude alors que la vie n’a peut-être pas d’autre but que de nous faire vivre justement ?
Devons-nous vraiment nous conformer à ce que la société semble exiger de nous ?
Comment trouver le plein épanouissement au milieu de toutes ces questions ?
La sécurité matérielle et la propriété ont-ils un intérêt dans notre cheminement intérieur ou sont-ils un frein ?
Ai-je besoin d’être à Paris toute l’année, cachée derrière la capitale que j’aime et connais ?
Pourquoi aimerais-je tant chaque soir être assise devant l’océan ?
Si l’on considère que notre existence a un but et qu’il nous faut apprendre quelque chose avant notre dernier jour, pouvons-nous passer à côté et échouer ?
Existe-t-il des réponses différentes pour chacun d’entre nous ?
Pourquoi sommes-nous imparfaits ?
Pourquoi nos relations sont-elles si complexes et difficiles à cerner ?
Pourquoi ne sommes-nous pas ce que nous voudrions être, plus tolérants, plus bienveillants ?
Sommes-nous honnêtes avec nous-mêmes ?
Comment accepter de ne pas tout connaître, de ne pas aller partout ?
Sommes-nous complets tant que nous n’avons pas vu le monde ?
Comment se rendre utile et servir quelqu’un ou une cause en restant dans le ton juste, sainement ?Le quotidien semble parfois médiocre à côté des grandes sensations avec lesquelles on flirte. J’aime réellement les rues de Paris, tout comme j’ai réellement aimé regarder les paysages norvégiens s’étaler sous mes yeux il y a moins de deux mois. Si j’avais eu un ordinateur sur les genoux là-bas, vous auriez été inondés de billets sur ce pays à la nature parfaite, sur le bonheur des découvertes et de la rencontre avec autre chose. Je suis convaincue que l’on peut trouver son bonheur sur terre mais voudrais laisser à ma porte les vieux liens, les vieux freins qui me collent. Je sais bien que rien ne se fait en un jour.
Que faire pour se connaître lorsque face à soi-même on ne parvient pas à se mettre à jour ?
Pourquoi les humains sont-ils modelés par l’inquiétude alors que la vie n’a peut-être pas d’autre but que de nous faire vivre justement ?
Devons-nous vraiment nous conformer à ce que la société semble exiger de nous ?
Comment trouver le plein épanouissement au milieu de toutes ces questions ?
La sécurité matérielle et la propriété ont-ils un intérêt dans notre cheminement intérieur ou sont-ils un frein ?
Ai-je besoin d’être à Paris toute l’année, cachée derrière la capitale que j’aime et connais ?
Pourquoi aimerais-je tant chaque soir être assise devant l’océan ?
Si l’on considère que notre existence a un but et qu’il nous faut apprendre quelque chose avant notre dernier jour, pouvons-nous passer à côté et échouer ?
Existe-t-il des réponses différentes pour chacun d’entre nous ?
Pourquoi sommes-nous imparfaits ?
Pourquoi nos relations sont-elles si complexes et difficiles à cerner ?
Pourquoi ne sommes-nous pas ce que nous voudrions être, plus tolérants, plus bienveillants ?
Sommes-nous honnêtes avec nous-mêmes ?
Comment accepter de ne pas tout connaître, de ne pas aller partout ?
Sommes-nous complets tant que nous n’avons pas vu le monde ?
Comment se rendre utile et servir quelqu’un ou une cause en restant dans le ton juste, sainement ?Le quotidien semble parfois médiocre à côté des grandes sensations avec lesquelles on flirte. J’aime réellement les rues de Paris, tout comme j’ai réellement aimé regarder les paysages norvégiens s’étaler sous mes yeux il y a moins de deux mois. Si j’avais eu un ordinateur sur les genoux là-bas, vous auriez été inondés de billets sur ce pays à la nature parfaite, sur le bonheur des découvertes et de la rencontre avec autre chose. Je suis convaincue que l’on peut trouver son bonheur sur terre mais voudrais laisser à ma porte les vieux liens, les vieux freins qui me collent. Je sais bien que rien ne se fait en un jour.
Parviendrai-je à me trouver ?
C’est dans la douceur et la perplexité face à toutes ces questions que je vais trouver le chemin de mon lit. La nuit porte parfois momentanément conseil.
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