Oyé oyé ! Que les amatrices de chick lit s’approchent de l’écran !
Les poulettes ont leur rayon en librairie
Pour les jeunes femmes parties depuis cinq ans sur Vénus et qui auraient loupé un épisode de 7 ou 8 ans (oui, quand même !!), l’ami Wikipédia pourra vous éclairer :
« La chick lit, courant littéraire récent, se définit sur le plan thématique: elle raconte l’histoire d’une jeune citadine, âgée d’une vingtaine ou d’une trentaine d’années généralement de classe moyenne. Elle est habituellement aux prises avec un travail harassant ou inintéressant dans le monde des médias, à la recherche de l’homme de sa vie, souvent en désaccord avec sa famille (le plus souvent sa mère) ou minée par un besoin compulsif visant à calmer ses anxiétés. Les aventures seront toujours saupoudrées d’humour et de dérision, spécificité essentielle de la chick lit. »
Comment voulez-vous que je ne sois pas une régulière de la « littérature pour poulettes » (?!) avec une telle définition ?
On peut mettre Sex and the City et Bridget Jones dans la catégorie.
Si je devais vous donner un petit conseil lecture, mon préféré à ce jour dans ce genre littéraire est « Petites embrouilles et pieux mensonges » d’Elizabeth Young. C’est en fait l’histoire d’une jeune femme qui en a tellement marre que sa mère lui mette une pression horrible pour qu’elle lui ramène un gendre qu’elle finit par louer les services d’un homme…
Samantha
Dans « Samantha, bonne rien à faire » de Sophie Kinsella, que j’ai lu jeudi dernier, Samantha a 29 ans et est encore bien moins douée que moi pour les tâches ménagères : elle ignore donc qu’il faut changer les sacs de l’aspirateur, n’a jamais rien fait à manger… Et pour cause : elle travaille tout le temps, d’arrache-pieds, dans l’un des plus grands cabinets d’avocat de Londres, où elle est sur le point de devenir associée. Mais une bourde professionnelle complètement idiote la fait quitter d’elle-même et précipitemment son job. En fuyant la ville, elle se retrouve dans une jolie campagne anglaise… embauchée comme femme de ménage ! Complètement désappointée, elle ne trouve pas la force de dire qu’elle ne sait rien faire et se met dans une jolie galère.
A lire, ce livre est beaucoup plus agréable que Le Journal de Bridget Jones d’Helen Fielding pour celles qui s’en inquièteraient. Le style de Sophie Kinsella est limpide. Les Petits secrets d’Emma et la série de L’accro du shopping sont nés de sa plume et ont rencontré un beau succès. J’étais d’ailleurs beaucoup plus cool en lisant les histoires de Samantha que celles de l’accro du shopping, qui est une vraie tête à claques à qui on voudrait juste retirer sa carte bleue ! J’ai passé un très bon moment et étais frustrée de ne plus avoir de lignes à me mettre sous l’oeil. Une fois encore, la problématique est celle des choix de vie et trouve un écho en nous qui avons un peu « toutes les possibilités » sans toujours savoir quoi en faire…
Hello miss! ça va?
J’aime bien lire de temps en temps la littérature pour poulettes. Le 1er que j’ai lu était « le diable s’habille en Prada » bien avant qu’il ne soit adapté pour le ciné. Le livre est plus amusant que le film car Miranda est vraiment très méchante!